Les participants se sont associés pour formuler une demande commune aux États afin que ces derniers prennent des engagements forts lors de la COP 21 dans le but de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Une coopération historique

Parmi ces participants, on trouve par exemple Greenpeace, Action Aid, la Confédération internationale des syndicats et des mouvements sociaux des pays en développement. Il s'agit d'une première au regard de l'ampleur du mouvement et de la diversité des organisations impliquées.

Alors que les négociations s'annoncent d'ores et déjà difficiles, de nombreux États pourraient prendre de trop faibles engagements pour limiter l'augmentation de la température globale de 2°C d'ici 2050.

Un appel à des engagements ambitieux pour lutter contre le réchauffement climatique

La lettre ouverte évoque notamment la protection de l'environnement comme un droit de l'Homme. Elle rappelle également la responsabilité des pays industrialisés vis-à-vis des pays en développement et la nécessité d'agir pour garantir la protection des droits économiques, sociaux et politiques des populations les plus pauvres. Celles-ci sont dès à présent les plus vulnérables face au réchauffement climatique.